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Métamédecine

Qu'est-ce que la métamédecine ?

Le mot métamédecine est formé du préfixe grec méta, qui signifie " aller au delà  ", et du nom médecine, qui signifie " ensemble des moyens mis en oeuvre pour la prévention, la guérison et le soulagement des maladies ".

La métamédecine va au delà  de l'effacement de la douleur ou de la disparition des symptômes. Elle met l'accent sur la recherche du facteur responsable du mal-être ou de la maladie.

En métamédecine, la douleur, le malaise ou l'affection sont considérés comme des signes avant-coureurs qu'il y a rupture de l'harmonie dans une partie de l'organisme.

Faire disparaître ce signe sans en chercher l'information correspondante revient à faire taire l'alarme du détecteur de fumée qui a décelé la présence d'un foyer d'incendie. Faire fi de cette alarme, c'est risquer de se retrouver au coeur d'un brasier. C'est ce que nombre de personnes font en avalant un médicament sans chercher à comprendre l'origine du signal.

Cela n'implique pas pour autant qu'il faille se refuser le médicament qui pourrait nous soulager. Cela suppose de ne pas rechercher uniquement l'effacement de la douleur ou la disparition des symptômes, mais également l'élément qui pu leur donner naissance.

Pour en savoir plus, cliquez sur  http://fr.metamedicina.it/metamedecine

Pour des détails relatifs aux livres actuels de Claudia Rainville,
voir la page
http://fr.metamedicina.it/publications


Qui est ?
Claudia Rainville,

auteure à succès, conférencière internationale, psychothérapeute chevronnée, est la fondatrice de l'Association des intervenants en métamédecine.

Après dix ans de travail en microbiologie médicale, sa recherche de mieux-être l'a amenée vers plusieurs écoles de pensée, tant occidentales qu'orientales, où elle côtoie des maîtres dans la connaissance de l'être.

Claudia Rainville a connu la maladie: cancer, maux de dos chroniques, dépression nerveuse et de multiples interventions chirurgicales. S'étant totalement autoguérie, elle sait par expérience que toute maladie a une cause qui peut être autant physique que psychologique.

Sa formation scientifique lui a laissé la rigueur, la méthode, l'analyse, le discernement que requiert son rôle de praticienne expérimentée en relation d'aide.

Par sa façon d'être, elle témoigne d'une grande richesse intérieure, de cette Sagesse qui l'habite et qui lui a permis d'aller chercher, au plus profond d'elle-même, la cause de ses maladies, de ses « mal-être », et de les transcender au profit d'une grande harmonie intérieure.

Ce qui caractérise Claudia Rainville et la rend si populaire, c'est son authenticité. Avec une transparence qui nous touche au plus profond du coeur, elle nous raconte ses propres expériences de vie et nous amène à reconnaître en nous les mêmes blessures, les mêmes crises existentielles, les mêmes aspirations ...

Claudia Rainville est reconnue pour ses qualités de communicatrice. Elle a donné des centaines de conférences, tant au Québec et au Nouveau-Brunswick qu'en Europe où elle fait chaque année une tournée dans plusieurs villes en France, en Belgique et en Suisse, où elle est très demandée.



Comment ai-je développé
l'approche de la métamédecine ?

Par Claudia Rainville

Je suis née avant terme avec le cordon ombilical noué autour du cou. J'ai mis plus de trois semaines à ouvrir les yeux. Ma mère me croyait aveugle. Je dois préciser que le déroulement de la grossesse de ma mère se fit dans des conditions pitoyables. Mariée à un homme alcoolique et violent qui la battait, chaque grossesse s'avérait être pour elle un véritable cauchemar. A l'annonce de cette nouvelle maternité, mon père lui déclara : " Ce veau qui va naître, je vais le tuer sur le coin de la maison ". Ma mère était si malheureuse qu'elle aurait voulu en finir en se jetant dans la rivière, mais sa responsabilité de mère l'en empêchait. Plus approchait le jour de ma naissance, plus la violence de mon père augmentait. Une nuit, sa fureur fut telle que ma mère dut s'enfuir pour trouver refuge chez ses parents. C'est là que je suis née, portant déjà un lourd passé foetal.

A l'âge de six ans, je fus envoyée au pensionnat pour entreprendre ma première année de scolarité. Cette année fut marquée par des rhumes, des pneumonies et une première opération pour m'enlever les adénoïdes. Je passai plus de la moitié de cette première année d'études à l'infirmerie, de sorte que je dus la reprendre.

L'histoire de ce mal-être ou plutôt de ce mal de vivre se manifesta à travers bien d'autres affections telles que furoncles, orgelets, amygdalites, laryngites, psoriasis, eczéma, maigreur, entorse, hypotension, anémie, hypoglycémie, allergies, maux de dos, lithiase biliaire, cancer du colon et j'en passe.

Ce que je ne peux cependant taire, c'est la souffrance silencieuse qui m'habitait et qui se traduisait par des dépressions très marquées dont mon entourage ne se doutait nullement, mais dans lesquelles je m'enfonçais d'année en année. Je me sentais intérieurement si perturbée que je craignais d'être folle.

Je collectionnais les cartes de visites des hôpitaux aussi bien que les flacons d'ordonnance. Je croyais en la médecine traditionnelle, m'y étant orientée par mes études et m'y étant spécialisée. Mais plus je faisais usage de cette médecine, plus je m'enlisais dans la maladie et dans la souffrance que je portais.

Mes tentatives de suicide furent mes derniers appels au secours. C'est au cours d'une mort clinique que j'allais renaître. Ce ne sont pas le lavage gastrique ou les injections médicamenteuses qui m'ont redonné l'énergie ou le désir de vivre, mais plutôt la voix douce et accueillante d'une jeune infirmière qui, me voyant inerte, branchée à un respirateur, émit dans une grande compassion ces simples mots : " Ah ! mon Dieu, la pauvre chatte ".

C'est après cet événement que j'entrepris une démarche, non pas pour me libérer de ce mal de vivre (j'en ignorais l'existence), mais pour comprendre ce qui m'avait conduite à ces dépressions.

C'est en faisant des liens à travers les malaises et les maladies que j'avais eus que j'avançai à tâtons (du moins au début). J'avais à ma disposition une petite brochure qui s'intitulait Guérir son corps, de Louise Hay qui y proposait une approche métaphysique.

Mon raisonnement cartésien emprunté à ma discipline professionnelle me positionnait en observatrice demeurant sur mes gardes quant à la possibilité que l'on puisse créer ou développer une ou des maladies à partir de nos croyances ou de nos attitudes mentales.

Ce qui brisa mes résistances et m'amena à approfondir cette approche, c'est un mal de dos pour lequel je recevais des traitements de physiothérapie depuis deux années. On avait diagnostiqué, à l'aide d'une radiographie de ma colonne vertébrale, que j'avais une malformation de la 5 lombaire, ce qui, selon la médecine, causait mes maux de dos. On avait envisagé une intervention chirurgicale, mais je ne me sentais pas suffisamment prête à accepter cette solution.

Je fis, grâce à cette petite brochure de Louise Hay, le rapprochement entre le dos et le soutien. Qu'est-ce que je prenais sur mon dos ? Je prenais les problèmes de tout mon entourage, c'est-à-dire de ma mère, de mes soeurs, de mes amis. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons, dont le désir de contrer un sentiment d'avoir été méchante. En m'occupant des autres, cela me donnait l'impression d'être bonne. Il y avait également un besoin d'être aimée et même une raison de vivre (celle-là toutefois je ne la découvrirai que bien des années plus tard).

Dès cette prise de conscience, je décidai de laisser aux autres leurs problèmes. Auparavant, je leur trouvais des solutions et le plus souvent je devenais leur solution. Désormais, j'allais me contenter de les aider à s'aider et ce s'ils me le demandaient. Je pus constater dans les jours qui suivirent la disparition de mes maux de dos. Je cessai les exercices et les traitements de physiothérapie. Moi qui avait besoin de preuves pour croire, je venais d'être servie. J'entrepris alors d'éliminer tous mes malaises par cette approche. Plus j'avançais dans mes découvertes, plus j'y gagnais au niveau de ma santé; toutefois en même temps, j'y perdais de l'intérêt dans mon travail en microbiologie. Je me disais " Mais qu'est-ce que je fais ici ? Je ne contribue qu'à éliminer les effets alors qu'il serait tellement plus important de travailler à éliminer les causes ".

Cependant, quitter ce qui représentait ma sécurité financière n'était pas facile. Dans cette nouvelle approche, aucun salaire ne m'était proposé. J'avais peur de l'inconnu. C'est à ce moment que je commençai à ressentir des douleurs au niveau du nerf sciatique. Une douleur me sciait le muscle de la cuisse. Je souffrais également de constipation accompagnée de gaz intestinaux et, pour couronner le tout, d'une infection des gencives avec maux de dents. C'en était assez, il me fallait prendre une décision, faire face à mes peurs. La plus grande d'entre elles étant de me tromper et de ne pouvoir faire marche arrière.

C'est alors que j'ai rencontré le docteur Herbert Beierle qui offrait un séminaire sur " La maîtrise de sa vie ". Je lui parlai de mon indécision. Il me dit: " Dans la vie, on ne fait jamais d'erreur, on fait seulement des expériences. Qu'es-tu venu faire dans ce monde sinon vivre des expériences pour ton évolution ? "

Voilà ce que j'avais besoin d'entendre. Je pris la décision de quitter mon emploi. Ma famille et mes collègues de travail tentèrent tant qu'ils le purent de m'en dissuader. Mais ma décision était ferme : je démissionnai de l'emploi que j'occupais en milieu hospitalier. Tous mes malaises disparurent. La partie n'était pas gagnée pour autant je n'étais qu'au début de mes découvertes.

Je me joignis à un centre de croissance afin de poursuivre mes études de métaphysique. Je continuais à faire des liens. Cependant, bien des questions restaient sans réponse et bien des malaises que j'expérimentais sans vraiment le souhaiter ne se trouvaient pas dans la petite brochure de Louise Hay. J'ai dû en faire les frais pour découvrir la cause.

Puis, je fis la connaissance du médium Alex Tanous qui animait des séminaires de croissance, qui m'apporta la compréhension du lien qui unit notre présent au passé. Je découvris, grâce à lui, qu'une majorité des difficultés que nous rencontrons à l'âge adulte sont en résonance avec des situations émotionnelles non résolues de notre passé.

Le centre de croissance personnelle dans lequel je m'étais investie depuis des années m'avait beaucoup apporté. Sa directrice m'avait conduite aussi loin qu'elle le pouvait. Il me fallait désormais continuer mes recherches par mes propres moyens. Je mis l'accent sur la thérapie individuelle et de groupe. Me servant au départ des connaissances acquises, j'approfondissais par le questionnement la cause probable du problème pour lequel un ou une participante me consultait.

Par exemple : j'eus Antonia en consultation; elle était atteinte de leucémie aiguë. Les médecins lui avaient donné trois mois à vivre. J'ignorais totalement ce qui pouvait causer une leucémie aiguë, cependant, mes connaissances en pathologie aidant, je savais qu'il s'agissait d'une prolifération de globules blancs immatures. De façon générale, les globules blancs assument un rôle de défense. J'orientais donc mon questionnement dans cette direction. Antonia avait-elle eu le sentiment d'avoir à se battre ? En avait-elle maintenant assez de cette lutte où elle se sentait perdante ? C'était exactement cela. En libérant ce sentiment de découragement, en recherchant des solutions qu'elle n'avait pas envisagées mais qui s'avérèrent très favorables, elle guérit de sa leucémie et recouvra la santé.

Parfois, je me demandais ce que le malaise ou la maladie imposait à la personne. Si, par exemple, cela imposait un arrêt de travail, une immobilisation ou une privation, n'est-ce pas ce qu'elle recherchait inconsciemment ? Par exemple, l'immobilisation : la personne n'avait-elle pas besoin d'un temps d'arrêt qu'elle ne s'autorisait pas ? Celles que cela privait de plaisir ne recherchaient-elles pas à s'autopunir ? C'est ainsi que je poursuivis mes recherches.

Lorsque l'on me demandait le nom de cette approche, je n'avais pas de nom précis à donner et cela n'avait pas d'importance. Pour moi, seuls les résultats comptaient. Il en allait autrement pour ma secrétaire qui, elle, se trouvait bien ennuyée de ne pouvoir répondre à cette question. Puis un jour, je fis une émission de télévision pour un réseau communautaire. Celle-ci s'intitulait Métamédecine. Elle voulait démontrer l'importance d'aller au delà des moyens proposés par la médecine. C'était exactement ce que je faisais. Dès lors, j'ai pu mettre un mot sur cette approche que je développais.

Ce n'est que six années plus tard, après avoir rencontré plus de trois mille personnes en thérapie et m'être autoguérie, que je me décidai à écrire. Je pensais : " Si, moi, j'ai pu me sortir de cette souffrance qui m'accablait depuis si longtemps toute personne le peut également ". J'avais tant de merveilleuses découvertes à partager mais, en même temps, je craignais d'en être incapable. Je fis face à cette peur en plongeant, malgré mon inexpérience de ce domaine, dans le monde de l'écriture. Je laissai mon coeur et ma mémoire se raconter par l'intermédiaire de ma plume. Et c'est ainsi qu'est né le premier livre " Métamédecine la guérison à votre portée. "

(Note du webmaster du présent site :
ce texte a été repris du site officiel de 2006 pour en améliorer la lecture, surtout en cas d'impression)
 

Votre webmaster qui fut,
avec son épouse et à plusieurs reprises,
élève de Claudia Rainville.

Avec nos meilleures pensées à Claudia Rainville et à toute son équipe !

Charly et Gaby

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